Njombé-Penja

La localité de Njombé-Penja, située dans la région du Littoral, dans le département du Moungo, au Cameroun, compte environ 40 000 habitants sur une superficie de 260 km. Elle est délimitée au Nord par la commune de Loum, au Sud par la commune de Mbanga, à l’Est par Yabassi et à l’Ouest par la commune de Melong. Les températures y sont élevées toute l’année (>24°C).

Les résidents de la commune s’investissent principalement dans l’agriculture et le commerce.  Parmi les cultures pratiquées, on trouve banane, palmier à huile, cacao, poivre, papaye, ananas… En dehors des espaces cultivés, la zone est constituée d’une forêt primaire. Les cultures de rente et vivrières éliminent par endroits des arbres et le sous-bois, causant déforestation et effet de serre.

La population très cosmopolite vit en harmonie ; les principales ethnies représentées à Njombé-Penja sont les Sawa (dont les Bafoun, les Bonkeng, les Abo), les Bamiléké, les Bafia, les Bassa’a, les Beti, les Bamenda, les Bakweri et les Haoussa.

La commune compte approximativement 40 000
habitants sur une superficie de 260 km². Les proportions
d’hommes et de femmes sont presque équivalentes,
avec un léger avantage féminin. Ces femmes s’investissent
principalement dans les activités agricoles et le
commerce.

Parmi les cultures pratiquées, on trouve : bananes,
palmiers à huile, cacao, poivre, papaye, ananas. Dans la
faune, on peut noter des espèces aquatiques telles que
carpes, crevettes, silures.

La population est cosmopolite et vit en harmonie, constituée
de dix (10) grandes ethnies : les Sawa (dont les
Bafoun, les Bonkeng, les Abo), les Bamiléké, les Bafia, les
Bassa’a, les Beti, les Bamenda, les Bakweri et les Haoussa.

Le saviez-vous ?

Il y a bien longtemps, des éléphants vivaient dans la forêt située sur une portion de nos terres. Pour protéger cultures et humains, un grand fossé avait alors été creusé
autour de ce qui est devenu la plantation AGRIMEX.
Aujourd’hui nous avons des singes, des antilopes, des serpents et une foule d’insectes. Nous nous faisons un devoir de préserver cette forêt et sa formidable biodiversité. Un jour, nous souhaitons pouvoir y organiser des randonnées
touristiques.